Il débuta alors par un massage qui me sembla se différentier en rien du précédent, mis à part qu’il semblait surtout survoler ma peau de ses doigts agiles, m’occasionnant de délicieux frissons, réveillant mes sens. Ses caresses sur la plante de mes pieds occasionnaient des vibrations me remontant jusqu’à l’échine. Ses mains, ensuite, couraient de mes tendons d’Achille jusqu’à mes fesses qu’il commença à pétrir, chose qu’il n’avait pu faire auparavant avec ma fouta. Avec ses deux pouces, il me massait profondément mes plis à la base de mes fesses, allant assez loin dans mon entrejambe, pour remonter ensuite sur mes reins, en massant voluptueusement.
- Tu aimes ?
- J’adore !
Rassuré, il alla plus loin dans ses investigations pour atteindre mes couilles et commencer à les effleurer avec délicatesse.
J’étais étendu sur le ventre, mes bras allongés et mes mains retournées sur le bord de la table. Dans son massage précédent, il s’était tenu plutôt loin de moi, comme avec mesure. Mais maintenant, je sentais parfaitement le contact de sa toile de fouta et devinais l’engin se cachant derrière le fin tissu.
Il se fit plus osé et commença à tourner autour de ma rondelle avec ses doigts. Je sentis bien, tout de suite, sa protubérance, sous le linge, enfler de plus en plus et venir carrément se frotter contre mes doigts. Les choses étant claires maintenant, je m’emparai alors de son chibre. Beau morceau, mais sans comparaison avec mon Daoud ! Enhardi, il avait fait pénétrer son index dans mon fondement. Si son sexe n’était pas hors mesure, je n’en aurais pas dit autant de son doigt. Découvrant son vit complètement en dehors du linge, je m’en emparais pour l’avaler et le sucer avec avidité. Il était, en dépit de sa circoncision, déjà tout humide d’un précum au goût délicieux. Je recherchai ses couilles que je découvris très basses et énormes, suspendues au bout de son scrotum distendu, assez peu gracieusement d’ailleurs, à l’image de ces bourses de taureaux qui paissent dans nos champs et qu’on découvre, les burnes énormes ballotant exagérément presque au gré du vent. En les remontant, je m’amusais à les faire jouer comme une paire de boules de pétanques au jeu. Il apprécia, je le sentis à ses mouvements de bassin. Il s’activa d’autant plus au fond de moi, visiblement cherchant à me masser la prostate, mais sans aucun effet sur moi. Au bout d’un moment, visiblement le sexe tendu à l’extrême, il se pencha sur moi pour me murmurer à l’oreille :
- Tu veux faire la femme avec moi ?
Je lui fis signe que non, en pensant que décidément, dans ce pays, c’était une manie de considérer les hommes aimant se faire prendre comme une femme !
- Tu veux me niquer alors ?
Tiens, pensais-je à nouveau. Me faire prendre c’est être femme, mais lui, se faire prendre, c’est se faire niquer ! Quelle subtilité culturelle.
Très excité, je lui fis signe que oui.
- Oui, mais c’est plus cher !
- Combien ?
Il m’annonça la somme. Dérisoire pour un beau mec comme lui.
- Ok !
Visiblement heureux de cette perspective de gain, il me retourna et entama une turlutte de feu de Dieu, tout en me replongeant son index. Je dois reconnaître qu’il œuvrait avec délice pour moi, nonobstant un côté un peu mécanique, que je qualifierais de « professionnel » …
Puis, il me lâcha, et en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire, il monta sur la table, me fit face, et vint s’empaler sur ma queue en entamant une série de flexions du feu de Dieu, s’appuyant au maximum sur ma queue quand il me sentait bien à fond. Il débanda presque immédiatement, ce qui me fit comprendre qu’il ne prenait aucun plaisir, sentiment renforcé par ses traits totalement inexpressifs, comme absents, pensant à tout autre chose… Moi qui adorais voir un mec se trémousser sur moi, les yeux parfois révulsés de plaisir, je me sentais pour le moins frustré. D’autant qu’il ne cessait de souffler des « c’est bon ? », « tu aimes ?», « je fais ça bien ! », « ça vient ? », « tu vas venir ? »
Bref, que du très automatique, sans vie, sans émotion, sans passion. Mais j’avais vingt ans et aurais pu faire l’amour à un buffet breton ! La jouissance vint, finalement, très forte car j’avais au moins le stimulus de voir ce corps magnifique sculpté en nage au bout de ma queue.
Puis, ce fut très mécanique. Il redescendit, m’essuya avec un linge humide parfumé, mais avec beaucoup d’attention. Il me fit signe d’aller au vestiaire où il l’accompagna pour récupérer discrètement son dû et s’inclina légèrement avant de quitter le local
Le patron, à la sortie m’accueillit avec un large sourire. Il m’annonça la somme :
- Il y un supplément pour le spécial.
Puis, avec un œil entendu :
- J’espère que vous êtes bien satisfait et qu’on vous reverra.
Je quittai le lieu pour me retrouver dans le brouhaha des rues surchauffées de la vieille ville, certes les couilles vides, mais finalement un peu déçu. Rien à voir avec mon Daoud, ni mon Karim ! Je déambulais parmi les badauds du souk, un peu nostalgique, regrettant presque mon argent, pour un plaisir si fugace…
Je rentrai en fin de journée. Passant devant l’étal de mon Karim, je fus surpris de ne pas le voir en place mais de découvrir Younes, se relevant d’un bon du fauteuil où il était affalé, pour me faire un amical signe. Je me garais un peu plus loin, sur le bas-côté et rejoignis Younes.
- C’est toi qui tiens le stand, aujourd’hui ?
Il me souria gentiment.
- Oui, tu vois !
- Karim a un problème ?
- Non, non, pas du tout.
Ne voulant pas être incorrect, je n’insistais pas et en profitais pour admirer ce parangon de beauté masculine en devenir dans le soleil couchant.
Il me regardait fixement et sembla réfléchir un instant, comme hésitant. Puis :
- Tu sais garder un secret ?
- Évidemment !
- Oui, mais un secret très gros…
- Alors, si tu penses que je ne mérite pas de le connaître, ne me dis rien.
- C’est pas ça… Mais… Tu diras rien à mon père ?
- Pourquoi j’en parlerais à ton père si tu me confies un secret te concernant ?
- Parce que vous vous entendez bien…
Je balbutiais un peu gêné :
- Euh… Oui… Enfin sans plus ; pas plus qu’avec Karim ou avec toi !
- Non, non, je sais ce que je dis. Il te regarde bizarrement. Il a jamais regardé des gens comme ça.
J’éludais au mieux :
- Peut- être, parce que je suis étranger.
Il me fixa un instant, avec des yeux pétillants d’intelligence :
- Non, je sais ce que j’dis !
Que savait ce jeune adolescent. Qu’avait-il compris ? Que soupçonnait-il ? Nous avait-il surpris ? Mais où ? Toutes ces questions virevoltaient dans mon esprit.
J’esquivais une deuxième fois.
- Bon alors ? Ce secret.
Il se lança :
Karim est avec une femme ! Mais surtout ne le dis pas à mon père ! Il a pas vu que je le remplaçais.
J’avoue que le coup tomba prêt et me surprit. Je ne m’y attendais absolument pas compte tenu des confidences qu’il m’avait faites et de cette déshérence sexuelle dans laquelle les jeunes Marocains se morfondaient. J’hésitai, sûrement maladroit :
- Il s’est trouvé une petite copine ?
Il pouffa.
- J’ai dit une connerie ?
- Où veux-tu qu’il trouve une copine, ici. Enfin je veux dire une jeune.
Il temporisa une fois encore, pour m’avouer finalement :
- Non, une veuve !
- Mais c’est très bien ! Et c’est tant mieux pour lui ! Mais pourquoi ne peut-il pas le dire à son père ?
- Il faut pas que ça se sache !
- Taratata ! Tout se sait dans votre douar !
- Oui, mais pas en face, pas devant tout le monde !
- Bon… Et alors ? Tant mieux pour lui !
Je lui glissai insidieusement, l’air égrillard :
- Elle va lui faire apprendre plein de bonnes choses à ton frère.
L’air envieux et pétillant, il me détacha un :
- J’aimerais bien être à sa place.
- Tinquiète pas, ton tour viendra un jour, beau comme tu l’es !
Il me scruta l’air surpris :
- Tu trouves que je suis beau ?
Je lui mentis afin qu’il ne se doute de rien :
- Écoute, pour être franc, et je n’ai pas l’habitude de dire cela à un garçon, tu es vraiment un magnifique garçon et je suis sûr que tu feras un très bel homme ! Tu verras ...
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