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Une femme mariée (partie 2)

Publié par : lrnt33 le 05/09/2025
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Lorsqu’elle revenait dans le salon, mon sang ne fit qu’un tour. Christine s’était changée pour revêtir une jupe en cuir laissant apparaître le haut de ses bas, des bottes, un corset qui maintenait à peine sa poitrine généreuse, ses longs cheveux blonds détachés, tombant sur ses épaules dénudées, le tout ne laissant aucun doute sur ses intentions. Le moment de surprise passé, je réussis à lui dire que ce n’était pas ce que je recherchais sur le site et que j’étais avant tout intéressé par une relation sérieuse. Elle me dit alors que rien ne m’interdisait d’en profiter tant que je ne trouvais pas ma perle rare et qu’elle saurait s’effacer le moment venu. Elle s’approcha, s’assit à côté de moi en approchant son visage du mien. J’étais troublé, indécis, en me disant qu’après tout j’avais le droit de profiter tant que j’étais célibataire mais que je n’avais jamais pensé à établir ce genre de relations en attendant que… Elle finit par déposer un baiser sur mes lèvres, me regarda dans les yeux puis recommença en appuyant un peu plus ses lèvres sur les miennes. Cela eut pour effet de briser mes convictions et je lui rendis son baiser. Nos langues se trouvèrent et nous échangeâmes alors des baisers passionnés pendant que ses mains caressaient mes cheveux, mon dos, mon torse, ce qui eut pour effet de faire tomber les dernières barrières que j’avais mises entre nous. Elle me repoussa au fond du canapé et vint s’asseoir à califourchon sur moi, plongeant ma tête entre ses deux seins que j’embrassais avec délectation. J’écartai légèrement son corset pour pouvoir lécher ses tétons et les titiller avec mes doigts, ce qui eut pour effet de lui arracher de petits cris de plaisir. Je lui caressais également les cuisses, mes mains passant sous sa jupe pour remonter jusqu’à ses fesses généreuses. Mon sexe tendu commençait à me faire mal sous mon jean et je me tortillais pour changer de position. Elle s’en rendit compte, se leva et me prit par la main pour me faire lever et me tira vers sa chambre. Au passage, je vis une photo d’elle et de son mari sur la commode. Je m’arrêtai un moment, Christine se rendit compte que je regardais la photo et la retourna face contre le meuble et recommença à m’embrasser tout en déboutonnant ma chemise pour pouvoir caresser mon torse qu’elle finit par m’enlever totalement. Elle ôta elle-même son corset, laissant apparaître sa lourde poitrine que je caressais des yeux et des mains. Je n’avais plus envie de résister et de profiter de cette belle femme qui s’offrait à moi. Mon sexe dur ne demandait qu’à prendre l’air et j’enlevai alors mon jean et mon caleçon, et mon sexe se dressa fièrement. Christine ne tarda pas à le saisir à pleine main tout en m’embrassant à pleine bouche, passionnément, pendant que je descendais la fermeture éclair de sa jupe qui tomba au sol. Je me rendis compte qu’elle ne portait rien en dessous, je me reculai un peu pour admirer ce corps qui s’offrait à moi, seulement vêtu de ses bas et de ses bottes. Elle voulut alors enlever ces dernières mais d’un geste je lui fis comprendre que je voulais qu’elle les garde.

Elle me repoussa sur le lit et vint s’agenouiller sur moi, son sexe effleurant le mien. Je sentis qu’elle était déjà bien mouillée, trahissant son excitation. Elle remonta son bassin sur mon torse, me regardant d’un œil gourmand, jusqu’à ce que ses lèvres humides arrivent à hauteur de ma bouche. Au comble de l’excitation, je m’avançai pour aller me délecter à la source, jouant avec ses lèvres et son clitoris gonflés de désir. Je suçai son clito puis je le mordillai, ce qui lui fit pousser un cri. Elle se retourna de façon à ce que je puisse continuer ses caresses tout en me prodiguant une fellation profonde.

Je ne m’attendais pas du tout à ce que Christine soit aussi entreprenante. Alors qu’elle continuait à sucer et avaler goulûment ma verge, elle caressait mes bourses puis un doigt commença à caresser mon anus. À cette époque, cette caresse était nouvelle pour moi et je fus surpris de trouver cela très agréable. Christine descendit un peu pour pouvoir humidifier mon petit trou avec sa langue, me procurant à nouveau une sensation inédite. Je soulevai un peu mon bassin pour faciliter ses caresses. Se rendant compte que j’appréciais cela, elle se leva, se plaça entre mes jambes qu’elle releva pour mieux laisser apparaître ma rondelle et recommença à la lécher, la caresser avec un doigt. Je gémissais de plaisir alors qu’elle poussait un peu pour rentrer l’extrémité de son doigt, ce qui m’arracha un cri de surprise mêlé à du plaisir. Elle releva la tête et me regarda droit dans les yeux tout en introduisant son doigt un peu plus loin dans mon anus. Ma verge, toujours dressée, laissait perler une goutte de liquide pré-séminal que Christine s’empressa de lécher avant de reprendre sa fellation. Me voilà donc maintenant face à la double sensation de son doigt dans mon cul et de sa bouche autour de ma queue. L’excitation était à son comble, je m’abandonnai complètement sous les caresses de Christine. Je n’avais pas l’habitude d’être inactif mais Christine y mettait tellement d’ardeur que je ne pouvais que profiter de l’instant présent. Cela dura un petit moment jusqu’à ce qu’elle décide d’arrêter. Je m’attendais à ce qu’elle vienne s’allonger contre moi et m’embrasser mais au lieu de cela, elle monta sur moi et enfonça d’un coup ma queue dans sa vulve gonflée et humide. Je faillis jouir directement mais elle dut le sentir et resta ainsi, mon sexe au fond du sien, sans bouger, avant de reprendre de lents va-et-vient qui devinrent de plus en plus rapides, lui arrachant des râles de plaisir, ses mains crispées sur mon torse, titillant mes tétons. Je perdis toute notion de temps, profitant de la chaleur du corps de Christine jusqu’au moment où tout son corps se mit à trembler et qu’elle se mit à gémir alors que mon sexe était enfoncé dans le sien jusqu’à la garde. Je ne bougeai pas, la laissant redescendre. Elle s’allongea alors contre moi, la tête dans le creux de mon épaule, le souffle court.

Mais elle en voulait encore plus. Elle se releva et se mit à quatre pattes et m’invita à passer derrière elle, écartant ses fesses en les remuant. Ma queue retrouva vite toute sa vigueur devant ce spectacle. D’une main, elle se caressa et ses doigts remontèrent vers son anus pour l’humidifier et l’ouvrir avec un puis deux doigts pendant que je me masturbais, les yeux rivés sur son anus qui s’ouvrait. Elle tourna la tête, me regarda et me dit : « Prends-moi là, maintenant, d’un coup. » Je ne pouvais qu’accepter sa requête et je dirigeai ma queue vers son œillet tout rose. Je posai mon gland dessus, voulant prolonger ce petit moment avant de plonger au plus profond d’elle. Je commençai juste à le rentrer mais Christine voulait que je la prenne d’un coup, elle recula alors son bassin et ma queue rentra entièrement, d’un seul coup. Christine poussa un cri tout en remuant son bassin.
« Défo ...

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