Je m'appelle Marie et pour ceux qui suivent mes récits. Le peu d'amis que j’ai, me trouvais très belle. Il faut dire que du haut de mon 1m 80, j’en impose un peu. La nature m'a gâtée d'une belle poitrine (90 B), blonde et un petit cul qui fait retourner les têtes. Dans la vie, je suis une marante, qui aime la vie et le sexe, je suis avec mon homme qui est régulièrement en déplacement.

Je viens de passer directrice d'agence depuis quelques mois ce qui m'a valu pas mal de remarques, et de sous-entendu surtout de la part de plusieurs personnes.

Comme mes responsabilités m’imposent une tenue vestimentaire correcte, j’affectionne les tailleurs et chemisiers toujours un peu ouverts sur le devant sans sous-vêtement, je n’en porte jamais. En prenant le siège et le bureau de l’ancien directeur d’agence, cela a éveillé un vieux fantasme il y a quelques mois de la personne sous le bureau.

Ce mardi-là, j’attendais un client qui venait signé sous contrat d’achat d’une maison sur la commune. J’avais déjà fait à 2 reprises la visite du bien avec le couple. Il avait été un peu « lourdaud » lors de nos rencontres appuyant principalement sur mon physique et me complimentant sur mes tenues. Lui n’était pas trop mal physiquement, assez grand comme j’aime.

Vers 11 heures du matin, il arrive seul à l’agence pour signer son mandat d’achat. Il était habillé avec un tee-shirt une veste sans manche et un bluejean.

Après le bonjour d’usage, je le fais rentrer dans mon bureau, fermant à clés ma porte de bureau et abaissant les stores, laissant le message à la secrétaire pour ne pas être dérangée, pour être en toute indépendance avec le reste de l’agence. Je le fais régulièrement pour être tranquille avec les clients lors des signatures

Après des paroles banales, madame va bien, lui ne se démonte pas et me dit :
- Vous êtes une très belle femme, vous devez faire un malheur…
Et d’ajouter :
- Vous avez le bonjour de Henry, il m’a dit énormément de bien de vous, et il aimé votre corps…

Là je réfléchi quelques secondes et j’ai retrouvé qui était Henry… Il client qui m’a fait jouir avec sa langue et ses doigts lors d’une visite il y a de nombreux mois. Je venais de me faire rattraper par mon passé…
- Moi aussi je voudrais bien en profiter avant de signer… Si cela se fait entre nous, je resterais comme une tombe. Parole. Mais cela m’embêterait de propager des rumeurs qui sont vraies.

Que faire ? du chantage, une première pour moi… Je tiens énormément à mon job.

La de façon instinctive je lui dis : Glissez-vous sous mon bureau et faite vous plaisir… Aussitôt dit, aussitôt fait, il ne sait pas fait prier et il a disparu sous le bureau. Il a posé sa main sur ma cuisse, remontant haut sous la jupe. Je l’ai laissé faire pour ne pas le contrarier, et ses doigts ont caressé mon clitoris. J’ai écarté les cuisses. Le bonhomme m’a bien relevé toute ma jupe avant de me planter plusieurs doigts dans mon sexe, alternant avec sa langue pendant plus de 5 minutes. J’ai énormément mouillé et j’ai joui une première fois malgré moi, cela me faisait un bien fou et surtout en mettant ma main sur ma bouche pour ne pas hurler dans l’agence.

Il s’est ensuite relevé, et il a sorti son braquemard et me l’a mis dans la main. Il bandait assez mou, mais les va-et-vient de mes doigts l’ont fait durcir. Il m’a demandé de me relever et il m’a mise nue dans mon bureau de façon assez sauvage et ma demandé de m’assoir sur mon bureau en écartant les jambes. Une première pour moi.

Il m’a caressé les lèvres avec la pointe de son dard humide. Quand je lui ai dit : « Je ne suce pas », il est resté interloqué, planté devant moi à se branler.

Puis, il a sorti un préservatif de sa poche et l’a enfilé. Malgré tout, il m’excitait vraiment. Il m’a attrapé, m’a retourné me couchant sur mon bureau et m’a empalé vigoureusement avec sa grosse bite.

Je pouvais donc m’en donner à cœur joie niveau commentaires salaces à toute petite voix : “Alors, tu aimes la bourrer la directrice? Il te plaît son cul hein! Vas-y, lâche-toi, fais-toi plaisir, défonce-moi comme une pute, claque- moi les fesses, j’adore ça!

Il appréciait visiblement cette mise en scène vocale qui ne faisait que redoubler son excitation. Ses coups de boutoir devenaient plus violents, et je sentais sa bonne petite panse claquer contre mes fesses dilatées.

Ce type n’était peut-être pas Brad Pitt, mais il avait un sacré coup de reins! Décidément, sa pauvre femme ne savait pas ce qu’elle manquait ! Il prenait un malin plaisir à sortir sa tige entièrement de ma chatte pour l’écarter de ses mains, avant de s’enfourner à nouveau en moi jusqu’à la garde. Son pouce venait titiller ma rosette qui a cédé sans aucune résistance pour lui faire une place. “Lèche-moi encore, j’ai envie de te voir manger ta mouille!” Il se lâchait et, tel un bon baiseur ...

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