Il y a encore quelques années, la Visitation à Annecy était the place to be pour les rencontres chaudes et sans tabou. On y croisait des mecs en rut, des corps en sueur dans l’ombre des arbres, et une ambiance électrique où tout était permis. Mais, soyons honnêtes, ce lieu a perdu de son éclat. La Visitation, c’est un peu comme un vieux bar où on retourne par nostalgie : on peut encore y trouver du plaisir, mais l’âge d’or est révolu. Plus assez de monde, plus assez de frissons.
Par contre, à Argonay, près d’Annecy, un nouveau spot a pris la relève, et là, c’est une tout autre histoire. À deux pas du Fier, au 455 route de l’Aiglière, un parking discret bordé d’un bois dense est devenu le repaire des mecs en quête de sensations fortes. Et croyez-moi, ce coin est un véritable buffet à volonté de bites, une explosion de testostérone où chaque nuit réserve son lot de surprises.
Ce soir-là, j’étais prêt à plonger tête la première dans cette nouvelle arène. Après quelques échanges brûlants sur un site de rencontre, j’avais rendez-vous avec un mec qui promettait de me faire voir des étoiles. Mais ce que je n’avais pas prévu, c’est que la nuit allait dépasser toutes mes attentes, me laissant le cul en feu et des souvenirs gravés à jamais.
Je me suis préparé comme un prince du vice. Un t-shirt noir qui laisse deviner mes pecs, un short court qui moule mes fesses bombées, et, caché dessous, un jockstrap noir qui me fait me sentir à la fois vulnérable et irrésistible. En arrivant au parking d’Argonay, l’adrénaline me gagne. La nuit est douce, l’air sent l’herbe humide et la liberté. Les phares des voitures balaient l’obscurité, et je sens les regards posés sur moi. Ce lieu est vivant, vibrant, rempli de mecs qui n’attendent qu’une chose : se lâcher.
Je m’appuie contre ma voiture, jouant avec mon phone pour me donner une contenance, quand un utilitaire blanc se gare à quelques mètres. Mon cœur s’accélère. C’est lui. Il descend, un mec baraqué, la trentaine, avec une barbe de trois jours et un regard qui dit : « Je vais te démonter. » Sans un mot, il ouvre les portes arrière de son van et me fait signe de le rejoindre. L’intérieur est aménagé pour l’occasion : une couverture épaisse étalée au sol, une lumière tamisée, et une odeur de musc qui me fait déjà bander.
On grimpe à l’arrière, et il referme les portes. L’espace est confiné, intime, parfait pour se perdre dans le plaisir. Il se déshabille sans perdre de temps, révélant un torse musclé et poilu, des cuisses puissantes, et une queue déjà à moitié dure qui pend lourdement entre ses jambes. Je l’imite, tournant lentement le dos pour lui offrir une vue imprenable sur mes fesses. Je l’entends grogner de satisfaction. « Putain, t’es trop bandant », lâche-t-il, sa voix rauque.
Il me demande de m’allonger sur la couverture, et je m’exécute, cambrant légèrement les reins pour l’aguicher. Ses mains rugueuses glissent sur mes cuisses, puis il fait descendre mon string avec une lenteur calculée, comme s’il savourait chaque centimètre de peau dévoilée. Je suis nu, exposé, et je sens son regard me dévorer. Il s’allonge sur moi, son corps chaud et lourd pressé contre le mien. Nos mains explorent, caressent, griffent. Il m’embrasse avec une fougue animale, sa langue envahissant ma bouche pendant que ses doigts pincotent mes tétons. Je gémis, incapable de me retenir. « On dirait que t’aimes ça, salope », murmure-t-il en mordillant mon oreille. Ma queue durcit contre son ventre, et je sens la sienne, énorme, frotter contre ma cuisse.
On se lèche mutuellement les tétons, et il les pince juste assez fort pour me faire frissonner de plaisir. Mes gémissements s’intensifient, et je me surprends à onduler sous lui, comme une invitation. Sa main descend vers mon entrejambe, malaxant mes couilles et ma queue avec une fermeté qui me rend fou. Je fais de même, empoignant son sexe épais, le branlant doucement pour le faire durcir encore plus. L’excitation est à son comble, l’air est saturé de nos souffles et de l’odeur de nos corps.
Doigts et délire : une montée en puissance
Je veux plus, je le sens. J’écarte les cuisses, prêt à lui demander de me doigter, mais il anticipe. Un doigt glisse entre mes fesses, lubrifié et assuré, trouvant ma rondelle avec une précision diabolique. Je gémis bruyamment, le corps secoué par une vague de plaisir. Il commence un va-et-vient lent, puis accélère, son doigt explorant mon cul avec une expertise qui me fait perdre la tête. « T’aimes ça, hein ? » grogne-t-il. Je hoche la tête, incapable de parler, et il en profite pour glisser un deuxième doigt. La sensation est encore plus intense, mes gémissements se transforment en cris étouffés.
Il me demande si j’en veux plus. J’hésite une seconde, mais l’envie est trop forte. « Trois doigts », dis-je dans un souffle. Il obéit, ...
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