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Mni gang-bang 3h 1f

Publié par : estak le 07/01/2025
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Grâce à Bernard dont j’ai déjà parlé dans le récit sur Thérèse, j’ai fréquenté (de loin) le milieu libertin. Je dis de loin car j’ai toujours refusé d’aller en club avec lui et une de ses diverses maîtresses. Les clubs ne m’ont jamais attiré. Je respecte les gens qui y vont et tant mieux pour eux s’ils y trouvent leur bonheur mais pour ma part, premièrement je n’ai jamais aimé les boites de nuit et deuxièmement y aller pour baiser me parait triste.
Toujours est-il que par contre, j’ai toujours aimé les soirées amicales qui dérapent. On est entre « connaissances », on sympathise et picole en petit comité, on rit et paf un coup dans les pattes arrière qui arrive sans crier gare ! J’en plaisante mais ce type de soirée m’était arrivé par deux fois lors de ma période étudiante, et j’avais bien aimé l’ambiance érotique qui d’un coup s’emballe et bascule dans autre chose.
Bernard me fit redécouvrir cela par son réseau de connaissances. En août 2017, ma femme était en cure thermale pendant trois semaines et j’ai profité de ce réseau. Je me souviens particulièrement d’une soirée chez un radiologue marseillais dans une jolie villa sur les hauteurs du quartier Puget.
J’avais sympathisé avec ce radiologue, Alain, lors d’une autre soirée. Cultivé, drôle, libertin depuis toujours avec son épouse, elle-même avait arrêté, ne s’estimant plus désirable avec l’âge. Ils avaient un peu plus de la soixantaine tous les deux, mais je n’avais jamais rencontré sa femme. Il était encore bel homme, sportif et voileux, entretenu. Lui continuait de libertiner, un peu en cachette même s’il pensait que sa femme n’était pas dupe.
Un jour, il m’appela pour me demander si j’étais libre le vendredi soir. Je lui répondis que oui, libre comme l’air jusqu’à fin août et tous les soirs s’il voulait. Il me dit qu’il avait contacté plusieurs couples, certains de sa connaissance d’autres inconnus, pour venir chez lui prendre l’apéro et plus si affinités. Bernard serait sûr présent avec sa pharmacienne libertine, et peut-être un couple de quadras contacté sur nouslibertins et un autre couple d’amis libertins. La femme d’Alain était en Grèce, on aurait toute sa maison pour s’amuser et même la piscine. Il ajouta que les dames cherchaient de la pluralité, il m’avait trouvé sympa et bien élevé et avait pensé que j’aimerais me joindre à eux. Banco !
Le soir venu, je me présentai à sa propriété, une jolie villa de la fin du XIXe siècle, dans une voie privatisée par les différents propriétaires de ce quartier huppé de Marseille. La maison avait un charme désuet qui me plut à l’instant. Alain me fit la bise et m’introduisit dans un couloir qui menait à un grand salon où Bernard et sa pharmacienne (Simone) étaient déjà présents. Lui aussi me fit la bise et me présenta à ce petit bout de femme, élégante dans une robe blanche discrète avec un décolleté très sage. Elle me sourit et me dévora du regard, je me sentis nu.
Alain revint de la cuisine avec divers amuse-gueules et la bouteille de champagne que j’avais apportée qu’il déboucha avec un pop jouissif. On sonna au portail, Alain partit ouvrir. Un nouveau couple arriva qu’Alain nous présenta : c’était Edouard et Anne, le couple contacté sur nouslib. Ils étaient visiblement venus avec des intentions franches, Anne était habillée de manière provocante digne d’une sortie en club : blonde, mains manucurées, maquillée, escarpins et bas noirs, robe noire très échancrée sur les côtés et un décolleté où mon regard plongea quand elle me bisa chaleureusement, je remarquai de gros seins libres de toute entrave et un piercing sur le téton gauche. Elle se tourna pour biser Bernard et Simone et je vis son dos musclé découvert. Edouard avait un ensemble blanc avec des paillettes, des mocassins blancs également.
Alain prit des verres et servit tout le monde. Il nous annonça que le couple d’amis qu’il avait convié ne pourrait pas venir. Il proposa de prendre place sur les trois canapés. Je m’assis et Anne vint s’asseoir à mon côté, Edouard la suivant. Nous bavardâmes quelques minutes, plaisantant, les uns et les autres racontant leurs expériences de club. Pas de vulgarité, on était entre gens éduqués. Pour ma part, j’observai tout le monde.
Anne n’était pas une belle femme au sens littéral, une mâchoire carrée, des kilos en trop, mais elle dégageait un charme et une puissance sexuelle indéniable. Elle tourna la tête vers moi et me regarda intensément, elle me tendit son verre avec un sourire carnassier. J’attrapai la bouteille de champagne et la servis. Elle me remercia en souriant à nouveau. Elle se cala au fond du canapé, enleva ses escarpins en les faisant glisser, et posa sa jambe gauche sur ma jambe droite. Je caressai son mollet lentement puis remontai sur sa cuisse. Ma main allait et venait de son pied au haut de sa cuisse, la massant tout en discutant et sirotant la flûte de champagne. Elle me retendit sa flûte.
Je la resservis. Elle sourit en coin en portant la flûte à ses lèvres, me regarda et écarta sa cuisse alors que ma main y montait. Sa robe n’était pas assez remontée pour que je sus si elle portait un dessous. Autant vérifier. Non, elle n’avait rien, je sentis ses doux poils pubiens quand ma main atteignit son sexe. Je caressais ses lèvres et son clito d’une main distraite tout en répondant à la question de Bernard.
Ce petit manège dura bien une trentaine de minutes. La soirée avançait et Simone se leva en déclarant qu’elle appréciait l’ambiance mais qu’elle devait ouvrir son officine tôt le lendemain et qu’elle ne voulait pas se coucher tard. Bernard essaya de la convaincre de rester mais rien n’y fit. Elle nous embrassa tendrement en nous serrant dans ses bras. Quand arriva mon tour, elle me glissa : « A bientôt j’espère. » avec un regard mouillé et intense. Puis ils nous quittèrent.
Les quatre restants, nous continuâmes à discuter. Edouard et Anne s’étaient rencontrés en club il y a une dizaine d’années et vivaient ensemble leur libertinage. Ils étaient vraiment sympathiques et Anne semblait m’apprécier. Elle avait remis sa jambe sur la mienne et nous avions repris notre petit jeu de caresses. A un moment, elle arrêta ma main qui arrivait à hauteur de son sexe et planta son regard dans le mien. Je la fouillai lentement de mon majeur, titillant son clito tendrement.
La tension dans le salon était électrique mais personne ...

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