L’eau de la douche nous procure d’agréables sensations mais moins que nos caresses. La langue d’Alexandre sur ma rosette est d’une dextérité incroyable. Il commence à peine à me travailler cette partie de mon anatomie que je commence déjà à être très excité. J’ai déjà envie que cette langue me transperce et me lubrifie pour préparer l’entrée de cette magnifique bite si joliment dressée.
Ayant envie d’être pris dans le jardin, je me redresse et débute cette toilette nécessaire après notre déconvenue. Je me saisis donc du gel douche et entame le nettoyage de cet athlète nu en me positionnant dans son dos, bite tendue contre sa raie. Je le savonne de partout en insistant sur ses pectoraux, en particulier ses tétons qui sont devenus aussi durs que nos sgegs. Je fais mousser sa toison pubienne sans oublier de masser vigoureusement sa tige si magnifiquement coiffée d’un gland majestueux. Je remets du gel dans le creux de ma main et fais mousser cette fois cette raie qui invite à l’exploration. Mon doigt appuie légèrement sur la rondelle et Alexandre a le réflexe de pousser son bassin vers l’arrière. Sans qu’il ne transperce cette frontière anale, mon doigt s’enfonce un peu, écartant un peu les parois de cette entrée vers le plaisir mutuel. Je n’insiste pas : nous verrons cela dans quelques instants. Je savonne bien les deux fesses et descends progressivement vers les pieds en prenant bien soin de masser ses cuisses puissantes tout comme le sont ses deux mollets. Il reste de la mousse dans sa raie et mes mains n’en ont plus suffisamment pour nettoyer ses pieds que je trouve magnifiques.
Je prends donc la pomme de douche pour lui rincer la raie et quand je me baisse pour lui chatouiller les pieds avec la mousse de savon, je lui chatouille l’œillet avec ma langue. Que sa rondelle est souple ! A n’en pas douter ma queue va bientôt la franchir pour notre plus grand plaisir. Alexandre me lave à son tour et s’il enfonce un doigt savonné au travers de mon anus pour bien le nettoyer, il insiste davantage sur ma verge en insistant sur mon prépuce qu’il froisse et défroisse avec beaucoup de doigté. Nous nous regardons droit dans les yeux et nos bouches se joignent puis nos langues. Je commence par lui caresser la nuque avant de descendre sur ses fesses si fermes, si galbées, si douces. Cette position est si agréable qu’elle dure mais Alexandre doit me nettoyer correctement et nos langues se quittent afin qu’il en finisse avec cette douce besogne. Qu’il en finisse ! Non ! J’ai bien envie qu’il me besogne et que je le besogne ensuite…
Notre toilette achevée, nous nous séchons mutuellement et j’entraîne Alexandre dehors, sur la pelouse, à l’abri du regard des voisins. Nous commençons par nous embrasser fougueusement de nouveau et nos deux sexes tendus se caressent autant que nos langues. Mes mains se promènent sur les fesses d’Alexandre et les siennes en font autant et même plus : ses doigts investissent ma raie et se concentrent sur ma rosace qui apprécie énormément. Mes sphincters se contractent de façon rythmique et mon cul bascule d’impatience : ma rondelle souhaite avaler, dévorer le chibre de rêve qui se tient contre le mien et le faire saliver ...

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