Le mois de janvier à la salle de sport... Du moins, les deux premières semaines du mois de janvier ! Le moment de l'année où la salle est très fréquentée. On y croise les habitués, mais aussi de nombreuses nouvelles têtes.

Il n'est pas rare de devoir attendre son tour pour les machines ou d'alterner ses séries avec un autre abonné. C'est alors l'occasion d'entamer un début de conversation, même si tous n'y sont pas réceptifs. Moi le premier. Cependant, l'entente se fait plus facilement avec certains.

Ce midi-là, à l'approche du début des cours collectifs, la salle est bondée. Je fais un roulement sur la presse à mollets avec un homme que je vois souvent ici. Charmant, la cinquantaine.

Lors de ma première série, légèrement sur le côté, un mec assis à travailler ses quadriceps (muscles du dessus de la cuisse) me regarde discrètement. Je lui souris et il me sourit timidement en retour. Il lance plusieurs fois des regards en coin vers moi. Il porte un maillot de foot rouge à manches longues, un short noir et doré sur un legging lui aussi noir, et des baskets fines, également noires. Physiquement, il ressemble à Neymar, ce que j'ai évité de lui dire car j'imagine qu'on a dû lui faire plusieurs fois la remarque. Le jeu de regard dure le temps de ses séries. Il finit par se lever et se dirige d'un pas décidé à l'autre bout de la salle.

J'aperçois au loin Guérom et Guilhem, toujours à s'entraîner ensemble. Il se chronomètrent sur un ballon de Pilates.

Ayant terminé mes répétitions, je monte pour suivre les cours collectifs sur le point de commencer et croise Guy en bas de l'escalier. C'est aussi un habitué. Le tout premier à m'avoir parlé lors de mes débuts à la salle. Il a exactement 45 ans, il est blond, pas très grand.

Le cours est dispensé par le beau gosse de l'accueil qui me lance un grand sourire à mon entrée. La séance dure 15 minutes durant lesquelles il est resté à côté de moi à lorgner sous mon mini-short lors des moments de gainage. Visiblement l'entrejambe du professeur démange, ce qui est dommage car impossible de nous amuser à ce moment précis.

12 h 15 s'affiche sur l'horloge murale. Le cours se termine. Il est temps pour moi de rentrer. Je descends les marches sous le regard désappointé du coach, qui doit enchaîner sur une autre leçon. Pas de fellation pour nous aujourd'hui...

Du bas des vestiaires j'entends déjà l'agitation, les voix qui se mélangent et l'eau qui coule. C'est l'heure de pointe et il y a la queue aux douches, c'est le cas de le dire !

Je suis happé par cette vision... Dans une odeur qui mêle déodorants et transpiration, des mecs partout, des mecs à poil... Un remue-ménage de casiers ouverts qui claquent en se refermant quand on se cogne dedans, les bancs ensevelis sous les sacs et les vêtements, les chaussures qui traînent aux pieds des mecs lancinant... Beaucoup sont là.

Je me place sous mon rebord de fenêtre, comme à mon habitude, dans quelques centimètres carrés de libres. Sur ma droite, un jeune blond à lunettes d'une vingtaine d'années, assis nu -chose rarissime ici- à s'essuyer les pieds. Je tasse mes affaires, mais il me rassure que je ne le gêne pas.

Sur ma gauche, je reconnais les affaires du mec de la presse à mollets qui dans l'instant sort nu des douches, serviette à la main.

Il a une si petite bite que seul son gland est visible. Ceci dit, il a de grosses boules lisses et des poils au pubis. D'ailleurs, il a des poils partout, sur les fesses, en bas du dos et même derrière les épaules. Il se regarde dans le miroir et se vante, le cul à l'air, d'avoir un joli corps malgré ses 50 ans tout juste atteints. J'approuve d'un mouvement de tête.

Il est suivi par Guy, nu aussi, encore mouillé. Il a un petite sexe aussi,de courts poils blonds au pubis, de grosses boules roses pendantes et un long prépuce. Tout en se séchant, il discute avec moi, comme il le fait souvent.

Dans le foulée, Neymar entre. Je le vois me regarder pendant que je me déshabille.

Je rassemble mes affaires, mais impossible de retrouver mon shampoing dans cet amas de vêtements où les sous-vêtements des uns finissent entre les mains des autres.

Au moment où j'entre dans les douches, il retire son maillot de foot, et furtivement pour moi d'apercevoir son nombril. Le temps d'appuyer sur le pommeau qu'il apparaît en boxer noir derrière moi, serviette autour du cou, sans gel douche. Un corps musclé secs, des abdo visibles, des poils autour des tétons et le pubis qui ressort. Il se place dans la douche du fond, et tombe le bas dans un large sourire avec déjà une demi-molle circoncise et de petites boules couvertes de poils bouclés. Il place son index sur sa bouche pour m'indiquer le silence, en chuchotant :

«Ne me chauffe pas !»

Mais il est déjà raide. Il m'attrape la main et s'en sert de sex-toy pour se branler. Mon sexe se durcit aussi, mais quoi faire avec tout ce monde à côté ? Il me retourne et frotte sa bite entre mes fesses de manière frénét ...

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