Quelques semaines après cette soirée mémorable du dépucelage d’un hétéro par mon Jules et moi, c’est enfin le jour du chantier. Ils sont deux techniciens qui commencent par défaire l’ancienne cuisine et entament l’installation de la nouvelle.
Sur les deux, il y en a un qui me tape dans l’œil, c’est Luc. Il a un regard très lumineux, des cheveux mi-longs et des muscles de partout. Le vert de ses yeux est entouré par le larges cils blonds. Il est tatoué à différents endroits, notamment au niveau de son biceps droit. Je m’arrange pour être derrière lui afin de pouvoir admirer son fessier. C’est une pure merveille ! Il est mieux sculpté qu’une statue d’Apollon. On sent une puissance musculaire incroyable. Son galbe est magnifique et j’ai la chance de le voir s’accroupir. Du coup, j’ai une vue plongeante sur le bas de son dos et surtout sur le début de sa raie. Celle-ci n’est pas blanche mais aussi bronzée que le reste de son corps. On y devine une légère toison dorée. J’ai la tentation d’y frotter mon gland et ce n’est pas son alliance à l’annulaire gauche qui peut me faire perdre cette envie.
Je le mâte autant que je le peux toute la journée tout en cherchant à croiser son regard et en essayant de lui faire du charme mais il semble très impassible à mes attentions. Le téléphone sonne, c’est Max qui demande si tout se déroule bien et s’il peut passer voir. Il s’entretient avec les deux et ils décident que Luc va rester seul pour finir le travail. En attendant l’arrivée de Max, je ne quitte pas Luc et m’arrange pour l’aider en étant le plus tactile possible et je ne cesse de lui lancer des regards langoureux. Alors qu’il semble rester impassible, je crois remarquer une bosse se former au niveau de son entrejambe. Je n’en suis pas sûr et pour m’en assurer, je balance mon regard entre son entrejambe et ses yeux. Il s’en aperçoit et ses pommettes se teintent de rouge.
Je suis proche d’atteindre mon objectif mais il ne faut pas crier victoire trop tôt. Jules et Max ne doivent plus tarder à arriver. Dois-je les attendre malgré mon impatience ? Luc range son dernier tournevis dans sa boîte à outils et moi, je suis sur le point d’user de mon vice. Je laisse Luc faire son tour d’inspection tout en le fixant dans les yeux en alternant avec son entrejambe. Voyant qu’il estime que sa tâche est achevée, je lui propose de prendre un petit verre en attendant Max. Je l’installe dans le canapé et reviens avec deux verres. Je lui tends le sien et m’arrange pour que nos mains se touchent et nous trinquons en projetant notre regard dans celui de l’autre. Nous buvons une gorgée et instinctivement nous posons nos verres sur la table basse avant de poser mutuellement une main sur le genou de l’autre. Nos regards s’enflamment l’un l’autre et nos visages se rapprochent. Nos lèvres se touchent et au moment où nos langues franchissent nos lèvres, je remonte ma main jusqu’à cette bosse que j’ai provoquée et entretenue depuis de longues minutes. Je sens un chibre bien raide, d’un gabarit intéressant. Nos langues sont très chaudes l’une contre l’autre et je passe ma deuxième main sur la nuque de Luc. Je lui caresse ses petits cheveux et me fais de plus en plus langoureux avec ma langue contre la sienne. Je sens une de ses mains qui vient s’enquérir de ma vigueur pénienne. Il défait mon bouton de braguette avec hardiesse et sa main plonge dans mon boxer et libère mon gland qui était à l’étroit dans son carcan de tissu. Luc me masturbe a ...

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