Cet après-midi d'été je suis debout devant la baie vitrée, je regarde dehors... Je porte ma plus belle lingerie, la noire que tu adores, et mes talons qui me font paraitre encore plus fine. Je n'ai besoin de rien d'autre pour me sentir belle et désirable.

Tu n'es jamais loin, tu approches lentement comme un chat et tu prends mes hanches entre tes mains puissantes. J'ai un frisson dans ton mon corps. En restant au contact de ma peau tes mains chaudes glissent autour de ma taille fine. Tu en fais presque le tour ! Je gémis déjà. Puis tu caresses très doucement mon ventre. On sait tous les deux que dans un moment tu seras à l'intérieur, tu m'envahiras, tu m'inonderas. Tu remontres jusqu'à mes seins enveloppés de dentelle, tu les prends, tu joues avec mes tétons qui durcissent instantanément. J'ai l'impression que je vais m'évanouir.

Alors tu te plaques contre moi, ton torse contre mon dos, je sens ton souffle tiède dans ma nuque, ton visage enfoui dans ma chevelure ondulée. Tu es autant excité que moi. Ton bassin se colle contre mes fesses de gamine, toutes petites mais bien fermes. Je sais qu'elles te font délirer, tu me mates quand je porte mon mini-short en jean. Je sens l'objet de mon désir qui se cale dans le creux de ma raie. Ta respiration s'accélère, impossible de s'arrêter maintenant.

Mon excitation est insoutenable, j'ai envie de hurler. De la sueur coule le long de mes reins et entre mes seins. Mon ventre est pris de soubresauts, je ne me contrôle plus. J'appuie mes mains contre la vitre, dans ma position de soumise, je recule mon bassin au maximum contre toi, creusant mes reins, totalement offerte à ton désir. Je me sens belle, désirable et surtout très pute.

Tes mains redescendent lentement de mes seins durs à mon ventre brulant... puis enfin tu redécouvres mes cuisses blanches. Je te supplie de ne pas arrêter. J'écarte légèrement les jambes, comme une invitation. Tu en profites pour passer tes longs doigts à l'intérieur de mes cuisses, là où la peau est très fine, douce et sensible. Je suis prise de tremblements incontrôlables. Mes gémissements deviennent des râles de plaisir. Nous savons tous les deux comment cela va finir.

Tu es nu es terriblement excité, tout ton corps me veut.
Je me tortille pour mieux sentir ton sexe dur, c'est comme une danse lascive. Mes mouvements augmentent le contact entre nos peaux moites. Je vondrais que tu me pénètres maintenant mais tu me tortures encore. Tu me veux totalement offerte, sans retenue. Je voudrais me laisser tomber à genoux, me retourner vers toi et gober ton sexe fièrement dressé. Mais tu m'en empêches, tu me maintiens fermement contre toi avec tes mains cramponnées en haut de mes cuisses, juste au dessus de mes bas résille. Je suis folle.

Tu me soulèves sans effort, comme une plume. Tu pourrais me plaquer à la vitre et me baiser fort comme ça, comme une chienne ! Mais tu me fais encore attendre l'apothéose, tu choisis de m'emporter un peu plus loin. Je vais avoi ...

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